Les Nations Unies: Refusent d’assister les enfants des soldats casques bleus en Haïti!


Les Nations Unies ne refusent catégoriquement à donner aux mères haïtiennes qui disent que leurs enfants ont été engendrés par des casques bleus.

Malgré, les angaments prisent par les Nations Unies, aucours d’une bataille juridique. Selon, ce qui a été decidé les Nations Unies ont promis un soutien financier pour les mères de ces enfants. 

Lors, d’une déclaration de plusieurs organisations de défense des droits humains etablissant en Haïti. A cet effet, le Bureau des Avocats Internationaux basé à Haïti et l'Institut pour la Justice et la Démocratie en Haïti (IJDH)

Effectivement, ces organisations ont engagé une action en justice contre les Nations Unies en Haïti depuis l’année 2017 en faveur des 10 mères demandant une pension alimentaire pour leurs enfants.



Étant donné que, femmes vivent dans le pays le plus pauvre des Amériques. Néanmoins, elle sont forcées d’élever leurs enfants nés de soldats Uruguayens, Argentins, Nigérians et Sri-Lankais détachés à Haïti

En tant que soldats de la paix par les Nations Unies lors de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti, communement appelé la “MINUSTAH” authorisé par le secrétaire général des Nations Unies en soutient au gouvernement haïtien.


Qui ont permis que des soldats casques blues de la paix par les Nations Unies d’opérés à port au prince, en toute quietude dans des activités de viols, d’abus sexuels, de International human trafiking, de femmes victimes de violences diverses de soldats Onusiens

Mais, elles sont plus que jamais découragées et se sentent doublement abusées d’une part, par les soldats casques blues onusiens. Et d’autres part, par les Nations Unies en tant qu’institution irresponsable. 

Du reste, elles sont forcés de se battent quotidiennement pour nourrir leurs enfants. Malgré le fait que ces femmes ont été abusées, violées et exploitées par les soldats casques blues par les Nations Unies.



Ces mères ont tout simplement été humuliées par les Nations Unies. Elles n’ont même pas le droit à une pension alimentaire pour que leurs enfants puissent au moins manger et aller à l'école, a déclaré Brian Concannon, directeur de l'IJDH, basé aux États-Unis.

D’ailleur, Fondation Thomson Reuters qui depuis des années observe ce dossier a déclaré: «Il est pratiquement impossible pour ces mères haïtiennes de faire valoir leur droit à recevoir une pension alimentaire pour enfants».

Sachant, que selon les chartes des missions par les Nations Unies. Les relations sexuelles entre les forces de maintien de la paix et les résidents des pays accueillant une mission de l'ONU sont fortement découragées. 

Malgré, que ces soldats casques blues par les les Nations Unies, de maintien de la paix de en Haïti ont partiquement leur propre code d’éthique. Neamoins, les Nations Unies ne prend pas la responsabilité de l'aide financière aux enfants engendrés par des soldats de la paix.

Sachant, que les droits à la paternité ou aux pensions alimentaires pour enfants dépendent des procédures légales en vigueur dans l'État de nationalité de la mère et de l'enfant et / ou du père», a déclaré Vannina Maestracci, porte-parole de l'ONU, dans un courrier électronique.

Néanmoins, les Nations Unies continuent de déployer des efforts concertés pour impliquer les États membres et soutenir les demandeurs dans le traitement des demandes de paternité et de pensions alimentaires pour enfants découlant de l'exploitation et des abus sexuels.

En dernier lieu, pour ces mères et ces pauvres enfants issus des abus et d’exploitations sexuelles engendrés par des soldats casques blues de la mission maintient de la paix par les Nations Unies en Haiti l’espoir d’une justice est vraiment sombre et mince.

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Peu importe ce que les jeunes lisent : c'est le 'muscle' de la lecture qu'il faut faire travailler et personne n'a pas besoin de débuter avec Marcel Proust.

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