Viol Sur Des Mineurs: Le Département Du Centre Est l'Épicentre Du Fléau.

Viol Sur Des Mineurs: Le Département Du Centre Est l'Épicentre Du Fléau.

Haïti - Département du Centre: La Police Nationale d’Haïti (PNH) dans un briefing pardevant des journalistes, a annoncée par le biais de son porte-parole l’officier de police Wesler Appolon,  que le Département du Centre est une niche où des criminels et prédateurs sexuels opèrent à ciel ouvert et ont commis environ « 32 cas de viol sur mineurs ont durant les 9 derniers mois».

Dépasser par cette épidémie de cas de viol sur mineurs dans le département du centre, la PNH a fait appel à la Brigade de protection des mineurs (BPM), pour l’aider à combattre ce problème qui devient très inquiétant et constitue cas de sécurité publique dû à l'augmentation de ce fléau depuis le début de l'année. 

Sachant le viol est sévèrement punis par la lois durement stipuler par l’article 278 du code pénal Haïtien, la peine est de dix ans de travaux forcés pour « quiconque aura commis un crime de viol, ou sera coupable de toute agression sexuelle, consommée ou tentée avec violence, menaces, surprise ou pression psychologique contre la personne de l’un ou l’autre sexe », des individus du département du centre s’organisent en réseau pour séquestrer des adolescents et les violer.

Cette situation grimpante mérite une attention soutenue des autorités policières et judiciaires afin d’agir de manière plus sévères contre les violeurs et ses acolytes.

Le porte parole de la PNH l’officier de police Wesler Appolon explique que le manque d’effectif de policiers dans la zone constitue un vacuum qui laisse le champ libre à ces individus qui comment ces actes de viols sur mineurs de manière répétitive en toute impunité à ciel ouvert.

Donc, Il y a un effort qui doit être au niveau de la Direction Générale de la Police National d'Haïti pour équiper le Département du Centre d’un effectif policier constitué d’agents de police durement spécialisé en tactique, d’investigation scientifique pour opérer des enquêtes sur le terrain et élucider ces cas de viols sur mineurs en toute impunis le plus rapidement que possible.  

Sachant que la base d’une enquête sérieuse a déjà été établi durant les 9 premiers mois de l’année, puisque la PNH a interpellé plus d’une vingtaine d’individus accusés d’implication dans des actes de viols sur mineurs de manière répréhensible et répétitive dans les communes de Cerca-Carvajal, Thomassique et Thomonde. 

Un personnage identifié au nom « Tifanm Jean » ainsi connu âgée de 55 ans, serait à la tête d'un réseau spécialisé dans les cas de trafics humaines, séquestration et de viols collective sur des mineurs. 

Cette dame a été arrêtée par la police et accusée d'être la tête d’un gang constitué de nombreux d’individus qui selon leur derniers spectaculaire offense publique ont pendant deux jours, enlevé, séquestré et violé une mineure de 12 ans, à son domicile, rappelant ce gang est constitué de personne de tout genre qui aussi force ces mineurs de produire des actes d’hommosexualité de tout genre et sexe confondu a précisé Wesler Appolon.

Le porte parole affirme que « ces individus sont dangereux, ils participent à des enlèvements d'écoliers et de viols collective sur mineurs avec pratique d’actes homosexualités contre consentement de ces victimes».

Ce réseau est aussi connu pour utiliser des drogues comme l'alcool et la marijuana pour captiver des victimes qui seraient beaucoup plus facile à être enlever sur l'effet de la drogue, ce réseau est dangereux détruit le future de centaine de mineurs dans la région. 

    

Le porte parole de la PNH à dument interpeller le public et l’État Central que ce problème un cas de sécurité public qui droit être corriger le plus vite que possible afin de stopper ce réseau de trafiquant humain, de kidnappeurs, de trafiquant de drogues, de violeurs d’expendre leurs activités criminelles dans d’autre régions du pays.

   

Pour le moment ce qui doit être fait dans en toute urgence est d’augmenter le nombre de patrouilles durant la journée à proximité des établissements scolaires pour mieux assurer la protection des élèves.

Et de lancer un cris d’alarme aux organisations de droit humains afin qu’elle puisse activer leurs activités de manière beaucoup plus permanent dans le Département du Centre afin de jouer leurs rôle de société civile active et d'apporter leur pierre à la construction d’un environnement de paix sociale que nous chérissons tous dans le pays pour combattre le viol répété sur des mineurs et sur tout autre personnes.