La nuit est triste de ton absence,
Depuis que le vide s’installe dans l’ombre de ton silence,
Voila que la maison perd toute la fraicheur de sa fragrance
Naturelle ainsi que le point de son culminance.
Le jour n’est plus clair perdant tout son éclat
Et son charme sublime se retrouve au trépas
Des pas perdus d’un amour écartelé
Morcelé, saucissonné, rafistolé et meurtri.
Les nuages pleurent des larmes
Immondes, immenses et infinis……
Et, le temps ! Ce temps ! Qui s’est arrêté sur ma tète entêté
Brusquement, brutalement électrocute
Toutes mes cellules nerveuses
Battant à la cadence d’un tam tam
Honorant les dieux maudits de la solitude.
Un texte de Ernst Georges publié sur le site : http://www.sympoesieum.com
Depuis que le vide s’installe dans l’ombre de ton silence,
Voila que la maison perd toute la fraicheur de sa fragrance
Naturelle ainsi que le point de son culminance.
Le jour n’est plus clair perdant tout son éclat
Et son charme sublime se retrouve au trépas
Des pas perdus d’un amour écartelé
Morcelé, saucissonné, rafistolé et meurtri.
Les nuages pleurent des larmes
Immondes, immenses et infinis……
Et, le temps ! Ce temps ! Qui s’est arrêté sur ma tète entêté
Brusquement, brutalement électrocute
Toutes mes cellules nerveuses
Battant à la cadence d’un tam tam
Honorant les dieux maudits de la solitude.
Un texte de Ernst Georges publié sur le site : http://www.sympoesieum.com
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